jeudi 22 mars 2007

N'importe où que tu es


J'ai cessé de sentir la bruine qui nous a donné la bienvenue ce matin d'août. Cependant, ici l'orage suit égal : une pluie de souvenirs qui d'une minute à l'autre m'attaque et abat tout mon présent, en le changeant en glace et neige. Comme maintenant. Pourquoi tout a succédé ainsi ? Je me demande que tandis que je voyage, impuissant, dans le temps, en aspirant au moins trouver une raison …


Aujourd'hui seul je trouve un brouillard dans le chemin. Peut-être le vent m'apporte une réponse et traînez aux nuages en laissant éclairer ses meilleurs habits de fête au seul astre dans mon coeur.

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