De la mélancolie infinie que je sens parfois,
Des larmes qui me libèrent l'âme,
De la paix que tes yeux me donnent,
Des feuilles mortes qui tapissent le sol de bois ombragés,
De la voix quel chante et la joue te caresse,
Il i a un moment dans Antoine et Colette,
Dans Nicole Mon Amour,
Dans lequel il sonne par dessous cette chanson,
Qui parle de tout cela et de plus,
En l'écoutant,
En prenant ta main,
M'a ressemblé un poème.
(Durderronger- juin 2006)
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