Elle est là, elle me tient.
Comme une petite mélodie.
Un air plus triste que gai.
Mais qui partout me suit.
Je ne devrais pas, je sais.
Me laisser aller ainsi.
Tant de souvenir que j’ai.
Et pourtant je les fuis.
Elle est là, elle est ici.
Elle fait désormais partie.
En tout temps de ma vie.
Même que je l’apprécie .
J’en ai fait mon amie.
Elle qui a un nom si joli.
A elle que je me confie.
Elle, la douce mélancolie.
dimanche 4 mars 2007
Conclusión
Deberes y ejercicios constantes en contra del olvido, la terquedad infinita de recuperar lo perdido recordando.
El hüzün sin consuelo. Saudade para siempre. La melancolía infinita, perfecta.
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